Les examens à faire absolument avant de poser un implant dentaire

Boostez votre visibilité

Vous souhaitez communiquer sur Services PME et améliorer votre référencement naturel ? 

L’implantation dentaire est une technique assez courante et fortement conseillée en cas de perte d’une ou de plusieurs dents. La méconnaissance des étapes du processus d’implantologie peut être intimidante. Il s’agit, en fait, d’une procédure encore méconnue pour plusieurs personnes. Dans cet article, nous vous exposons les examens et les contrôles à réaliser avant de faire un implant dentaire.

Qu’est ce qu’un implant dentaire

L’implant dentaire est un dispositif médical que l’on installe pour remplacer la racine d’une ou de plusieurs dents perdues. Souvent en titane, il est généralement composé d’une petite vis que l’on insère dans l’os de la mâchoire. Du fait de sa biocompatibilité, l’implant se fixe solidement de manière à assurer une bonne stabilité pour recevoir la prothèse dentaire par la suite.

Les implants dentaires offrent une multitude d’avantages :

·        Une solution esthétique et confortable ;

·        Un maintien de la solidité de l’os de la mâchoire

·        Une prévention contre le déplacement des dents avoisinantes ;

·        Une simplicité d’entretien par rapport aux autres solutions de remplacement de dents ;

·        Une facilité de mastication et une amélioration de la digestion avec une meilleure mastication.

Qui peut faire une implantation dentaire ?

Pour savoir si on est un bon candidat pour obtenir des implants dentaires, il est fortement recommandé de vous renseigner auprès de votre chirurgien-dentiste spécialisé en implant dentaire. En ne peut en aucun cas poser un implant dentaire chez les personnes souffrantes de maladies cardiovasculaires, d’insuffisance cardiaque sévère, de cancer en évolution et de maladies immunologiques. De même en cas de diabète, de séropositivité, de consommation excessive de tabac, d’alcoolisme et de ceux qui ont une quantité suffisante d’os de la mâchoire. Enfin, l’implant dentaire est déconseillé chez les enfants de moins de 17 ans et chez les femmes enceintes. Pour s’assurer du bon déroulement de l’intervention, il est nécessaire de demander conseil à votre dentiste avant de faire les tests et les examens médicaux.

Les examens à faire avant de commencer l’implantation dentaire

En plus de définir le type d’implant à utiliser, les examens préalables permettent de sécuriser le déroulement de l’intervention. Afin de limiter les risques de complications, il est essentiel donc d’être sûr que vous ne présentez aucune contre-indication.

L’examen prothétique

Avant d’étudier la faisabilité des implants, le dentiste doit effectuer des empreintes de vos maxillaires avec une prise de l’arc facial. Ainsi, il aura une idée précise sur les différentes courbes d’occlusion et de la dimension des espaces disponibles pour la pose d’implant. Tout cela permet d’avoir l’abord prothétique indispensable avant de procéder à l’abord chirurgical.

Le scanner et la radiologie

Afin d’éviter des erreurs de diagnostic et connaître l’anatomie exacte de la zone à implanter, il est essentiel de faire un scanner ou une radiologie. Ceux-ci permettent de savoir le volume osseux, la densité osseuse ainsi que les pièges anatomiques et les parcours nerveux. En effet, ces deux examens permettent au dentiste de choisir le nombre et la nature des implants nécessaires selon votre topographie osseuse. Ils mettent aussi en évidence des coupes transversales et longitudinales des zones à implanter sans aucune déformation. Enfin, les claques obtenues permettent au dentiste de confirmer ses choix en les superposant sur les différentes coupes. En bref, il s’agit d’un examen complet qui donnera tous les renseignements possibles pour effectuer une intervention réussie et sans complication.

L’examen sanguin

Pour parfaire la pose de l’implant dentaire, il est fortement recommandé de faire un bilan sanguin. Dans ce cas, le dentiste cherche particulièrement une carence en vitamine D sérique ou un taux élevé de cholestérol. Ces derniers provoquent certaines complications et rendent l’intervention risquée. De plus, des tests pour les différentes hépatites et pour le VIH seront aussi demandés pour  sécuriser votre intervention. Ces contrastes biologiques conditionnent en grande partie le succès de la reconstruction osseuse.